Les monuments de Londres








































l’Amérique et le bison, l’Asie avec une princesse sur un éléphant,



















Sur la place outre la station de métro, de nombreuses boutiques dont le fameux Lillywhites qui sur 6 étages propose une multitude d'articles de sport à des prix défiant toute concurrence.


























- Portrait National Gallery
- Leicester Square
- Chinatown
- Piccadilly Circus
- West End
- Covent Garden
- Buckingham
- Houses of Parliament
- Westminster














L'accès de ces espaces publics est libre en journée et un wifi gratuit est mis à disposition.







































Henri s'employa à l'agrandir le dotant du Grand Hall...


La cathédrale Saint Paul
Depuis l'an 604, pas moins de 4 cathédrales se succédèrent sur le site de la cathédrale Saint Paul.
Il eût la chance de pouvoir admirer son oeuvre avant de mourir et repose depuis dans la crypte.
La cathédrale fut miraculeusement épargnée par les bombardements allemands qui durèrent 57 jours et nuits entre 1940 et 1941.


La grande coupole decorée de peinture par Thornhill, d'où il faillit tomber et périr, est aussi splendide. Son accoustique est unique.
Les mosaiques qui ornent le plafond des bas-côtés, du choeur et des arcs on été commandées par la reine Victoria qui pensait que la cathédrale n'était pas assez colorée.
La facade ouest présente un grand portail surmonté d'un fronton représentant la conversion de St Paul, et les tours baroques mettent en valeur le dôme (2ème plus grand d'Europe après celui de St Pierre de Rome).
Le dome emblématique domine les toits de Londres




Bon plan Londres Accueil: allez y à l'heure de l'office (17 heures à vérifier) et dites que vous vous y rendez. Vous pourrez ainsi rentrer sans payer dans la cathédrale !
Le sanctuaire formé autour de la tombe de Saint-Edouard le Confesseur, roi bâtisseur de la premiere église en pierre de style roman, reste, aujourd'hui encore, le point culminant du bâtiment
C'est bien autour de cet épicentre sanctifié que rayonnent les tombeaux royaux des plus grands, avec les noms d'Henri III, d'Edouard I, d'Henry V et bien d'autres dont les effigies reposent solennellement par-dessus les couvercles depuis des siècles.
Mais c'est de chaque coté de l'écrin gothique que forme la si belle chapelle d'Henri VII que s'élèvent les tombeaux d'Elisabeth 1ère, de Marie Tudor ou de leur cousine Marie Stuart, reine d'Ecosse.
D’une chapelle à une autre, d’une plaque à un ornement, on croise la route de nombreux personnages célèbres, parfois surprenants. Par exemple Lord Byron y a une place, malgré le scandale de sa vie privée qui le fit bannir d’Angleterre…
Mais aussi les grands personnages anglais de la littérature et des arts de la scene du "Poets' Corner" - William Shakespeare, Charles Dickens (tombeau) et George Frederick Handel entre autres - avant de terminer la visite dans les "College gardens", véritable oasis de verdure et de paix.
Autre surprise : le trône, sur lequel chaque souverain s’assoit lors de son couronnement, est très simple et son bois est gravé de petits graffitis laissés là par des enfants des écoles en visite que l’on laissait approcher un peu trop près !!!"
Bon plan Londres Accueil: Vous pouvez entrer gratuitement dans l'Abbaye en participant à un office evening song, mais il est interdit de se déplacer.
Les Théâtres de Shakespeare
Le Théâtre de la Rose (1587-1605) et le Théâtre du Globe (1599-1642) sont situés dans le quartier de Southwark, au sud de la Tamise.
La Rose fut l’un des premiers théâtres élisabéthains de Londres, lieu où Shakespeare apprit son art et où ses pièces furent mises en scène.
Le Globe est célèbre pour avoir abrité de nombreuses représentations des pièces de Shakespeare, et pour avoir brûlé accidentellement en 1613 jusqu’aux fondations lors d’une représentation d’Henry VIII.
Du premier lieu il ne reste que des vestiges. Les informations obtenues en matière de conception et d’aménagement dans le cadre des fouilles ont été utilisées pour reconstruire le second, bâti dans les années 1990 et reconstruction fidèle du 1er théatre érigé en 1599.
Le Shakespeare's Globe, une histoire pleine de rebondissements.
Construit en 1599 à l’instigation des Lord Chamberlain’s Men, le théâtre vit ses premières représentations la même année.
En 1613, un boulet de canon, tiré pendant la représentation d’Henry VIII, mit le feu au toit de chaume, réduisant le bâtiment en cendres, sans faire heureusement de victimes !
Il fut reconstruit en 1614, et utilisé jusqu’en 1642, date à laquelle les Puritains obtinrent sa fermeture, après une campagne générale d’éradication du vice de la capitale anglaise.
Deux ans plus tard, le bâtiment fut donc à nouveau détruit. C’en était fini de la scène qui vit briller Shakespeare, auteur et acteur.
Un théâtre pas comme les autres
Quasi circulaire, c’est en fait un hexagone, doté de trois étages de galeries, dans lesquelles s’asseyaient les spectateurs, d’autant plus aisés qu’ils siégeaient plus haut.
Mais les pauvres n’étaient pas exclus pour autant du spectacle, puisque le parterre leur était réservé, pour un penny seulement.
De ce fait, le peuple était quasiment au contact des acteurs, ce qui donnait lieu à des échanges parfois vifs : joutes verbales plus ou moins agressives, jets de tomates ou d’oeufs… Comme l’on pouvait manger et boire au théâtre, il n’était pas rare que les reliefs d’un repas atterrissent sur la scène.
Une interaction qui étonnerait fort le public d’aujourd’hui, habitué au silence respectueux des salles de spectacle !
Enfin les plus privilégiés des spectateurs, parfois même la reine en personne, bénéficiaient d’une place au-dessus de la scène. La vision de la pièce n’était pas excellente, mais au moins, on était sûr d’être vu de tous.
Autre caractéristique remarquable : l’absence de toiture. Le Globe est un théâtre à ciel ouvert, ce qui ne va pas sans imposer certaines contraintes. Les représentations ne peuvent avoir lieu que par temps sec (et à Londres, ce n’est pas si fréquent !). Un drapeau signalait aux Londoniens si une pièce se jouerait ce jour-là.
Cette particularité architecturale surprenante permettait au théâtre d’économiser sur l’éclairage – nul besoin de chandelles quand vous bénéficiez de la lumière naturelle ! -, mais imposait aussi que les représentations aient lieu l’après-midi.
Et le spectacle dans tout cela ? La technologie du XVIIe siècle ne permettant pas de nombreux changements de décor, il incombait aux acteurs de manifester par leur jeu, leurs gestes… l’extraordinaire des situations.
Au Globe, ils étaient néanmoins aidés par quelques aménagements bien utiles. Sous la scène se cachait un « enfer » d’où pouvait émerger fantômes et autres créatures infernales.
Pas de Globe sans Shakespeare Acteur, auteur et copropriétaire du Globe, Shakespeare en était l’âme, et si on l’a reconstruit au XXe siècle, face au Millenium Bridge et à côté de la Tate Modern Gallery, c’est bien en son honneur, car le chantier fut lourd : dix ans de travaux, avec recours à des matériaux et des techniques du XVIIe : la structure de l’édifice ne comporte, par exemple, pas le moindre élément métallique, ce n’est que du chêne.
Fraîchement arrivé de sa ville natale, Stradford-upon-Avon, Shakespeare et sa troupe, les Lord’s Chamberlain Men, firent construire le théâtre en 1599, parce qu’ils ne pouvaient disposer d’une autre salle de spectacle.
Certaines des plus grandes pièces du « Barde » y furent créées, notamment Hamlet, Jules César, Othello, Le Roi Lear ou Macbeth.
En tout, plus d’une dizaine de pièces, comédies, tragédies, avec des acteurs dont certains étaient de véritables vedettes de la scène anglaise, comme Richard Burbage ou Kinaston, spécialisé dans les rôles de femmes.
Il faut dire qu’à l’époque, les femmes n’étant pas autorisées à monter sur scène, c’étaient des jeunes gens, aux traits fins et à la voix encore grêle qui tenaient les rôles féminins.
Le Globe aujourd’hui:
Samuel Wanamaker est l’homme qui construisit le Globe. Son obsession était de réaliser l’exacte réplique du premier théâtre du Globe.
Wanamaker mourut avant de voir son rêve achevé et avant son inauguration par la Reine Elizabeth II.
Pour renouer avec ses origines, le théâtre donne actuellement des pièces de Shakespeare au cours des belles après-midi printanières et estivales. Mais le Globe est aussi un musée que l’on peut visiter tout au long de l’année.
Le toit du Globe est équipé de sprinklers, sécurité indispensable en cas d’incendie. 900 personnes peuvent s’asseoir et 400 se tiennent debout.
Lors des JO, des représentations ont été données dans toutes les langues, et pas seulement dans celle de Shakespeare !


Le Royal Albert Hall constitue une partie du mémorial national du Prince Albert, mort en 1861 de la fièvre typhoïde, hommage au Prince mécène des arts et de son désir d’établir dans la ville un lieu permanent pour le public.

La construction du RAH démarra en 1867 et son inauguration eut lieu en 1871, la reine Victoria, très émue, ne put faire de discours.
Les champignons accrochés au plafond, installés en 1969, ont permis de régler les problèmes d’acoustique qui ont duré un siècle. L’opéra de Sydney s’en serait inspiré.
Cette salle possède 5 niveaux différents : une arène (grande comme 4 courts de tennis, soient 2 000 places assises), 3 loggias, une galerie et enfin le balcon où le public est debout. Elle possède un orgue, deuxième d'Angleterre par la taille.


On apercoit la loge royale où le dress code bannit les vêtements en cuir.

De même que l’Hôtel des Invalides n’est pas un hôtel, le Royal Hospital fondé par Charles II n’est pas un hôpital, mais accueille depuis 1692 les anciens soldats de Sa Majesté, qui viennent y passer leurs vieux jours parmi leurs compagnons d’armes. Ce sont les fameux “Chelsea Pensioners”.
La visite, conduite par l’un des “Pensioners” en grand uniforme, vous permettra d’admirer les majestueux bâtiments, ainsi que la chapelle et le grand hall qui sert de réfectoire, dûs au célèbre architecte Christopher Wren, et de découvrir l’histoire de cette institution.
Les appartements d'états ont été redécorés par Robert Adam à la fin du 18 ème siècle.
On constate au cours de cette visite que les relations entre la France et le Royaume-Uni ont rarement été au beau fixe avant le début du siècle dernier !

Le palais compte environ un millier de pièces, une centaine d’escaliers et 4,8 km de couloirs, deux cloîtres.
Westminster Palace fut la résidence principale des rois d’Angleterre jusqu’à ce qu’un incendie en détruise une partie en 1529.
En 1530, Henri VIII s’arrogea le palais York et le rebaptisa palais de Whitehall et l’utilisa par la suite comme résidence principale. Il y eut un autre incendie en 1834, et la majeure partie du palais partit en fumée, seuls le Hall, la Tour des Joyaux, la chapelle et la Crypte St Stephen échappèrent à la destruction.

Puis on traverse la Royal Gallery (où des fresques géantes des batailles de Waterloo et la mort de Nelson à Trafalgar se font face), et la Prince’s Chamber, antichambre des Lords, décorée de portraits de souverains ayant appartenus à lan dynastie des Tudors.

À un bout de la chambre se trouvent le trône royal et son dais orné d’or. Bien que la Reine puisse en théorie assister à n’importer quelle audience, elle ne se déplace qu’à la cérémonie d’ouverture du Parlement.
Pour finir, la Chambre des Communes, plus austère et plus petite que sa consoeur, est meublée de bancs de couleur verte disposés des deux côtés d’une allée.





Freemason hall, 60 Great Queen St, London WC2B






L'entrée est libre. Pour tous enseignements concernant la visite, cliquez sur le lien suivant www.supremecourt.gov.uk/visiting/visiting-us.html